Prises de position

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877 résultats

  • Rapport

    Pour une information du public scientifiquement fondée, impartiale, facilement accessible et compréhensible dans le domaine du médicament

    L’auteur déclare un lien d’intérêt intellectuel : il a été membre du Collège de la Haute Autorité de santé (HAS) de 2004 à 2014 et a présidé la commission de la transparence de la HAS de 2003 à 2014.

    L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie  considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles. Préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées, elles émettent un certain nombre de recommandations destinées à permettre de faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté, dans ce contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible pour le public. Ces recommandations s’adressent aux émetteurs d’informations les plus qualifiés que sont d’abord les pouvoirs publics et les autorités et agences de santé dont les trop nombreux silences, mais aussi le manque de réactivité et la production de messages peu adaptés au grand public ne permettent pas une présence suffisamment forte et visible dans les débats et polémiques ; ensuite à l’Assurance maladie qui devrait davantage donner accès aux très nombreuses données dont elle dispose et davantage les exploiter ; aux sociétés savantes qui doivent se garder de cautionner et de promouvoir des informations prometteuses mais non encore confirmées ; aux professionnels de santé qui restent les sources principales d’information du public et les meilleurs relais des informations émanant des autorités et dont la crédibilité des messages repose non seulement sur l’actualisation de leurs connaissances mais aussi sur leur indépendance; enfin aux associations de patients et aux patients qui, dans leur quête d’informations, doivent prioritairement recourir à leurs médecins et à leurs pharmaciens, en particulier ne jamais interrompre brutalement un traitement en cours ou modifier sa posologie sans leur en avoir préalablement parlé et faire preuve de la plus grande prudence vis-à-vis de documents ou messages électroniques ou non dont l’origine et la qualité ne sont ni identifiées ni validées.

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  • Communiqué

    Technétium un risque de pénurie inquiétant pour la santé publique

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  • Communiqué

    Handicap & violence. Il faut briser la loi du silence

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  • Communiqué

    Exposition aux ondes électromagnétiques. La santé publique ne doit pas être un enjeu politique

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : À propos de l’actualité, l’Académie nationale de médecine réitère sa position sur la fin de vie

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : SATIVEX, un suivi rigoureux en matière de pharmacovigilance et d’addictovigilance s’impose

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  • Communiqué

    L’Académie nationale de médecine appelle au don post-mortem de cerveau

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : tabac et santé publique, des mesures incohérentes et dangereuses

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  • Rapport

    L’éducation thérapeutique du patient (ETP), une pièce maîtresse pour répondre aux nouveaux besoins de la médecine

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport

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  • Communiqué

    A propos d’éventuels effets indésirables graves de la vaccination anti-papillomavirus humains en France.

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  • Rapport

    Sur la demande d’autorisation d’exploiter les émergences Venturino et Caldane – Station thermale de Guagno-les-Bains en Corse du Sud

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse à propos de l’expérimentation des salles d’injection

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  • Communiqué

    Médecine tropicale française et coopération internationale. Enjeux et perspectives

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse, radiofréquence et santé

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  • Rapport

    La Culture de prévention en santé : des questions fondamentales

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  • Rapport

    Mort subite au cours des activités physiques et sportives. Recommandations pour des mesures préventives

    Death. Sudden prevention & control. Sport

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : la pénurie de Lévothyrox

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : une mise au point de l’Académie

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  • Rapport

    La prise en charge des soins ophtalmologiques en France

    Ophthalmological care in France

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  • Rapport

    Le parcours qualifiant des chirurgiens

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport.

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  • Rapport

    Améliorer la pertinence des stratégies médicales

    Improving relevance of medical strategies

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  • Rapport

    Thérapies complémentaires – acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi – leur place parmi les ressources de soins

    Place of alternative therapies in medical practice (acupuncture, hypnosis, osteopathy, tai-chi, etc.)

    Les thérapies complémentaires ont-elles une place dans les hôpitaux publics ? Telle est la question que posent les auteurs après l’apparition de ces techniques dans la pratique de plusieurs établissements. Les revues et méta-analyses d’essais cliniques contrôlés montrent que l’acupuncture, la médecine manuelle-ostéopathie et l’hypnose (thérapies les plus pratiquées dans les hôpitaux de Paris) ne font preuve d’utilité que dans un nombre restreint de situations : lombalgies, cervicalgies, certaines céphalées (acupuncture et manipulations du rachis), nausées et vomissements de la chimiothérapie anticancéreuse (acupuncture et hypnose), prévention de la douleur liée aux soins chez l’enfant (hypnose). De même le tai-chi paraît efficace pour la prévention des chutes et l’amélioration de l’équilibre chez les personnes âgées. Toutefois l’avantage de ces méthodes par rapport aux soins de référence est peu ou non significatif, et quand une intervention placebo est réalisable (acupuncture, certaines manipulations) la thérapie authentique n’est pas supérieure à la thérapie simulée. L’effet placebo pourrait donc être le mécanisme commun d’action de ces thérapies. Malgré ces limites, les thérapies complémentaires sont très appréciées du public et la plupart des facultés de médecine françaises leur consacrent des enseignements optionnels de troisième cycle. Les hôpitaux publics, et notamment les CHU et les centres d’oncologie, ne peuvent donc être critiqués d’accorder à ces pratiques une place dans leur offre de soins. Les auteurs émettent cependant plusieurs recommandations afin que, en adoptant ces thérapies, l’hôpital soit perçu non comme garant de leur efficacité, mais comme lieu d’exemplarité de leur pratique et espace ouvert à la recherche et à l’évaluation objective et rigoureuse du bénéfice qu’elles apportent au patient. Ils rappellent à ce titre que ces thérapies ne sont que des méthodes adjuvantes, pouvant compléter les moyens de la médecine conventionnelle, mais ne pouvant s’y substituer.

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : Ne pas confondre « fin de vie » et « arrêt de vie »

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  • Rapport

    Contraception orale et risque vasculaire

    L’accès des femmes à la contraception a transformé leur vie, et leur a permis des progrès sociétaux considérables. Malgré ces progrès, le très grand nombre de grossesses non désirées, et d’interruptions volontaires de grossesse rend indispensable le renforcement de l’offre contraceptive. La contraception oestroprogestative est la méthode la plus utilisée en France chez les femmes jeunes du fait de son efficacité et de la simplicité de son usage. Le revers de la médaille, reconnu dès les années 60, est une augmentation du risque de thrombose, essentiellement veineuse (phlébite, éventuellement compliquée d’embolie pulmonaire) de 3 à 7 fois plus élevé que chez les non utilisatrices. Cet accident reste, cependant, rare, nettement inférieur au risque observé au cours de la grossesse, et du post partum. Le risque de thrombose veineuse est partagé par toutes les contraceptions hormonales contenant de l’éthinyloestradiol et un progestatif quel qu’il soit. Les pilules oestroprogestatives plus récentes, dites de 3e et 4e générations, augmentent encore le risque de thrombose veineuse par rapport aux pilules de deuxième génération, associant éthinyloestradiol et lévonorgestrel.
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  • Communiqué

    Risque cardiovasculaire, cholestérol et statines

    Cardiovascular risk, cholesterol and statins

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt en relation avec le contenu de ce communiqué.

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  • Communiqué

    TESTS DE DEPISTAGE GRATUITS ET ECOLES SEMI-PRIVEES D’AUDIOPROTHESE : la dérive marchande d’un secteur paramédical

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  • Rapport

    Apports et limites du Diplôme d’Etudes Spécialisées en Chirurgie Orale (DESCO) à l’amélioration de la prise en charge de la pathologie bucco-dentaire en France

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  • Communiqué

    Salles de consommation contrôlée de drogues (« salles d’injection ») L’Académie Nationale de Médecine réitère son opposition au projet d’expérimentation

    Controlled drug consumption rooms

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  • Rapport

    Rapport concernant la demande de la station thermale d’Aix-les-Bains aux fins d’obtenir l’orientation thérapeutique thermale « Phlébologie »

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  • Rapport

    Contribution à la « réflexion publique des citoyens, sur l’accompagnement des personnes en fin de vie » (Mission Sicard)

    Contribution to the « public reflexion of citizens on supporting end-of-life » (Mission Sicard)

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  • Communiqué

    Résistance aux antibiotiques : une impasse thérapeutique ? Implications nationales et internationales

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  • Rapport

    Pharmacovigilance : actualités et perspectives

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  • Rapport

    Évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique

    Assessment of psychiatric and criminal danger

    L’évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique est une des missions les plus
    délicates qui puisse être confiée à un expert judiciaire psychiatre en raison de leur faible nombre, de la qualité des outils d’évaluation disponibles et des potentielles conséquences individuelles et sociales de cette évaluation
    Après l’exposé des motifs de ce rapport et quelques remarques préliminaires, les chapitres
    analytiques successifs traitent de la saisie de la dangerosité psychiatrique et criminologique par le droit pénal, du dilemme permanent entre asile ou prison, des apports de la médecine pour comprendre et résoudre les problèmes liés à la dangerosité, du rôle de l’expertise médicale, des modalités de l’évaluation de la dangerosité mises à sa disposition et des mesures à prendre pour améliorer la qualité de ces expertises.
    Il s’en dégage des conclusions et recommandations pour une meilleure prise en charge de l’évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique.
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  • Communiqué

    Recommandations pour la prise en charge des patients ayant une forme sévère d’hypertension artérielle

    Recommendations for the management of patients with severe arterial hypertension

    Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le
    contenu de cet article

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  • Rapport

    Assistance médicale à la procréation en prison

    Assisted reproductive technology in prison

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  • Communiqué

    Neuropathies amyloïdes héréditaires : aspects cliniques et neuropathologiques

    Familial amyloidotic polyneuropathies

    Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article

    La polyneuropathie amyloïde familiale liée à une mutation de la transthyrétine (TTR)
    (TTRFAP) est une neuropathie de transmission autosomale dominante, d’évolution fatale
    en moyenne dix ans après l’apparition des premiers symptômes. Cette affection est présente
    dans le monde entier, avec une plus grande fréquence pour la forme la plus habituelle
    Val30met au Portugal, en Suède et au Japon. De nombreuses variantes phénotypiques ont
    été décrites. TTRFAP doit être évoquée chez des malades souffrant d’une neuropathie
    axonale, d’évolution progressive et sans cause précisément déterminée, surtout si sont
    associées des perturbations liées à une atteinte du système nerveux autonome. D’autres cas
    dans la famille, sont souvent reconnus chez des malades dont les signes ont débuté autour de
    la trentaine, tandis que les formes de révélation tardive sont souvent sporadiques et il n’est
    donc pas rare que ces cas soient longtemps considérés comme souffrant d’une polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique. Une biopsie de nerf est souvent réalisée
    pour confirmer la présence de dépôts extracellulaires au sein du tissu interstitiel de l’espace
    endoneural. De tels dépôts peuvent aussi être trouvés dans le muscle, les glandes salivaires,
    la graisse abdominale confirmant qu’il s’agit d’une maladie polyviscérale. Il convient de
    souligner que des résultats négatifs de ces examens pathologiques ne peuvent faire éliminer
    avec certitude le diagnostic d’amylose. Dans tous les cas la recherche d’une mutation du gène
    TTR devra être pratiquée.

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  • Rapport

    Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ?

    Vaccines adjuvants in 2012

    Les adjuvants restent indispensables à la plupart des vaccins, notamment les plus purifiés, ainsi qu’en toute probabilité aux vaccins du futur. Leur rôle est de stimuler les mécanismes de l’immunité innée afin d’activer les cellules qui produisent la réponse immunitaire adaptative. L’aluminium présent dans les adjuvants vaccinaux est sous une forme particulière répondant à des normes physico-chimiques très précises. Des recommandations officielles (OMS, FDA) ont fixé, à partir de l’expérimentation animale, des valeurs sécuritaires pour l’aluminium alimentaire : le taux minimal de risque ou MRL (minimal risk level ) a été fixé à 1 mg/Kg/jour. Les vaccins du calendrier vaccinal contiennent une dose d’aluminium réglementaire inférieure à 0,85 mg/dose. Un travail expérimental, utilisant de l’aluminium marqué, a montré que la quantité d’aluminium apportée par les vaccins injectés aux nourrissons dans le cadre du calendrier vaccinal demeure très inférieure à la dose de sécurité minimale définie pour l’alimentation. Même si de très faibles quantités d’aluminium se retrouvent dans le tissu cérébral, la relation lointaine entre aluminium et maladie d’Alzheimer fait débat depuis des décennies sans qu’aucune preuve n’ait pu être apportée. En particulier, chez les hémodialysés décédés d’encéphalopathie et chez l’animal d’expérience à qui on a injecté de l’aluminium, les lésions cérébrales ne sont pas celles de la maladie d’Alzheimer. Dans la myofasciite à macrophages, les troubles cognitifs publiés ne correspondent pas non plus à ceux de la maladie d’Alzheimer. Aucune preuve de toxicité neurologique imputable à l’aluminium de l’alimentation ou des vaccins n’a pu encore être fournie à ce jour. Les adjuvants non aluminiques nouveaux et/ou en cours d’investigation ne sont pas destinés à remplacer les sels d’aluminium, mais à permettre d’élaborer des vaccins nouveaux contre des maladies telles que le paludisme, l’infection à VIH, la tuberculose ou certains cancers. Les différents adjuvants ne sont pas interchangeables et demeurent spécifiques de tel ou tel vaccin. Pour ce qui concerne le phosphate de calcium, qu’on a proposé pour remplacer l’aluminium, les études d’efficacité ont donné des résultats variables, voire contradictoires. Le débat reste donc ouvert et des travaux supplémentaires seraient souhaitables. Si la recherche s’orientait vers le remplacement de l’aluminium dans les vaccins, la substitution ne pourrait se faire qu’après de longs et nombreux essais, contrôles, et études cliniques qui nécessiteraient plusieurs années (environ cinq à dix ans). L‘analyse détaillée des conditions nécessaires à la provocation d’une maladie auto-immune n’apporte aucune preuve à ce jour permettant d’incriminer les vaccins ou les adjuvants. Tout moratoire portant sur la non-utilisation des adjuvants aluminiques rendrait impossible, sans pourtant aucun argument probant, la majorité des vaccinations. La résurgence des maladies prévenues par ces vaccins entraînerait par contre, et de façon certaine, une morbidité très supérieure à celle, hypothétique, des maladies auto-immunes ou neurologiques imputées à la vaccination.
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  • Rapport

    Les nuisances sonores de voisinage dans l’habitat – analyse et maîtrise

    Home noise pollution due to neighborhood activities Analysis and control

    L’auteur déclare ne pas avoir de lien d’intérêt en relation avec le contenu de cet article

    Si les nuisances sonores de voisinage dans l’habitat sont bien connues, leurs répercussions sur la santé s’avèrent souvent sous-estimées par l’opinion publique. Reflet de la société, les nuisances de voisinage ne peuvent être maîtrisées par la seule réglementation. Les maires jouent maintenant un rôle majeur dans cette maîtrise en recourant avant tout à l’éducation, à l’information et à la médiation tout en utilisant la réglementation à bon escient.
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  • Rapport

    La lutte contre le dopage : un enjeu de santé publique

    The flight against doping : a public health challenge

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêt avec le contenu de ce rapport

    Dans son rapport, l’Académie nationale de médecine identifie le dopage comme une tricherie qui est non seulement contraire à l’esprit du sport mais présente aussi des risques pour la santé des sportifs. L’existence du Code mondial anti-dopage (le « Code ») élaboré en 2003 et revu en 2009 constitue une démarche pertinente et harmonisée. L’Agence mondiale anti-dopage (AMA), créée en 2000, veille à la bonne application des règles du Code et coordonne la lutte contre le dopage en collaboration avec le Comité international olympique (CIO), les Fédération sportives internationales et nationales, les organisations nationales anti-dopage (en France l’AFLD). Le dopage sportif représente un réel problème de santé publique : de nombreuses études réalisées dans le monde montrent que 3 à 5 %des adolescents qui suivent un entraînement quotidien ont été déjà confrontés au dopage. Ce chiffre est certainement plus élevé chez les adultes.Malheureusement, la lutte contre le dopage se heurte à de nombreuses difficultés d’ordre scientifique, réglementaire et sociologique.
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  • Communiqué

    Diabète et précarité

    Diabetes and social deprivation

    L’auteur déclare n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de cet article

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  • Communiqué

    Sur l’évolution actuelle du fonctionnement des hôpitaux publics

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  • Communiqué

    La prescription des médicaments chez la personne âgée

    Drug prescription to elderly patients

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  • Rapport

    Prise en charge pré-hospitalière des urgences vitales de l’adulte en pratique civile

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport.

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  • Rapport

    Statut vitaminique, rôle extra osseux et besoins quotidiens en vitamine D

    Vitamin D : status, daily requirements and role in extraosseous processes

    Les auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêt en relation avec le
    contenu de cet article

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  • Rapport

    12-05 Prise en charge pré-hospitalière des urgences vitales de l’adulte en pratique civile

    Pre-hospital management of adults with life-threatening emergencies

    Les situations qui mettent en jeu dans l’immédiat, à court terme, la vie des patients sont régies en France par l’organisation du ‘‘ Secours à personne ’’ et celle de l’aide médicale urgente. Succès indéniable, cette prise en charge pré-hospitalière de l’urgence vitale repose sur un trépied spécifique : point de recueil unique des appels, régulation médicale et médicalisation précoce sur place. Sont décrits les multiples acteurs qui interviennent et le parcours de la personne en détresse. En matière d’urgence vitale, le patient doit être amené directement, le plus rapidement possible dans la structure hospitalière de référence dévolue à la pathologie qu’il présente. Cette ‘‘ filière du suraigu ’’ concerne l’urgence traumatologique (polytraumatologie et/ou l’hémorragie non contrôlée, les traumatismes de la moelle épinière), les hémorragies de la délivrance, les urgences médicales vitales telles les cardiopathies ischémiques, l’arrêt cardiaque — la ‘‘ mort subite ’’, l’isché- mie cérébrale aiguë et sa conséquence l’infarctus cérébral, certaines situations de détresse respiratoire aiguë (accident anaphylactique sévère, inhalation de corps étrangers, électrocution, asphyxie par noyade, overdose chez les toxicomanes, certaines intoxications) et les pathologies relevant en première intention de l’oxygénothérapie hyperbare (accident de plongée sous-marine, intoxications aigues au monoxyde de carbone ou par fumée d’incendie). L’identification des dysfonctionnements à l’origine de retard, voire de manquement dans la prise en charge des situations d’urgence concerne un retard dans la prise en charge initiale, une médicalisation inadaptée, une mauvaise orientation hospitalière. Ils renvoient à la question de l’égalité des chances pour tous, compte tenu de la diversité du territoire national au plan de la géographie et de la répartition de la population. Les objectifs à atteindre pour améliorer l’efficacité du système sont définis tels : l’amélioration des coordinations fonctionnelles, la mise en place d’un maillage territorial des structures d’urgence, la réduction des inégalités d’accès aux soins d’urgence, le développement des actions de formation aux premiers secours pour le plus grand nombre. Dix propositions ont été retenues par l’Académie nationale de médecine, en termes d’organisation et de moyens.

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  • Communiqué

    Pour un renforcement du contrôle du tabac en France : place des hausses dissuasives et répétées des taxes sur le tabac

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  • Rapport

    12-04 Médicaments et adaptation néonatale : l’héritage médicamenteux

    Impact of drug exposure in utero on neonatal adaptation

    Les effets délétères potentiels des médicaments administrés à la mère sur l’enfant

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  • Communiqué

    A propos de la commotion cérébrale chez les sportifs

    Sport-related concussion

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  • Communiqué

    Détection et prévention des conduites suicidaires chez l’adolescent

    Detection and prevention of suicidal behaviour in adolescence

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  • Communiqué

    De la pratique excessive des jeux sur écrans aux addictions

    On screen games : from excess to addiction

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