Prises de position

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894 résultats

  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse du 20 novembre 2014 – « Résistance aux antibiotiques : une impasse thérapeutique ? Implications nationales et internationales »

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  • Communiqué

    Recommandations conjointes des Académies nationales de Médecine et de Pharmacie sur le respect de l’information officielle du médicament

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse du 12 novembre 2014 – Un vaccin dangereux a-t-il été administré à des Africains par les médecins coloniaux français entre 1948 et 1960 ? A-t-on délibérément caché un « scandale pharmaceutique aux colonies » ?

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  • Communiqué

    Recommandations à propos de l’épidémie à virus Ébola

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  • Rapport

    À propos du projet de loi relatif à la santé

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  • Rapport

    Rapport sur les anticoagulants oraux directs (AOD) (antérieurement appelés « nouveaux anticoagulants oraux » ou NACO)

    les auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêt en relation avec le contenu de ce rapport.

    Pendant des décennies, les traitements anticoagulants oraux n’ont comporté qu’une seule classe pharmacologique, celle des antagonistes de la vitamine K (AVK). C’est pourquoi, l’arrivée sur le marché, entre 2008 et 2013, de trois nouveaux anticoagulants oraux directs  non AVK (AOD) de mêmes indications thérapeutiques que les AVK mais de mécanismes d’action plus spécifiques, a suscité l’espoir qu’à efficacité égale ou peut-être supérieure, ils pourraient induire moins de complications hémorragiques. Il s’agit d’un antithrombine, le dabigatran, et de deux anti Xa, le rivaroxaban et l’apixaban. Ces anticoagulants ne nécessitent pas de surveillance de leur activité anticoagulante, ce qui est une contrainte en moins par rapport aux AVK  mais ce qui, en contrepartie, limite la possibilité d’adaptations posologiques individualisées. Par ailleurs, ils sont  actuellement dépourvus d’antidote, un inconvénient non négligeable face aux situations d’urgence traumatique ou chirurgicale. S’ils présentent l’avantage, par rapport aux AVK, de ne pas entraîner d’interactions avec les aliments, ils ne sont pas dénués d’interactions médicamenteuses. Leurs données de pharmacovigilance n’autorisent pas, en l’état actuel, de comparaison avec les AVK mais permettent cependant de préciser les facteurs de risque, par exemple ceux des effets indésirables hémorragiques : âge, insuffisance rénale, poids corporel < 50 kg, associations médicamenteuses, pathologies ou interventions à risque hémorragique. Les principaux effets indésirables concernent d’abord les accidents hémorragiques (surtout la sphère digestive et plutôt dans les indications médicales) puis thromboemboliques, plutôt au décours de la chirurgie. Un suivi à long terme s’avère nécessaire pour s’assurer, au-delà des résultats des essais cliniques et des premières données d’utilisation, de leur sécurité à long terme.

    En prévention de la maladie thromboembolique veineuse en chirurgie orthopédique, leurs avantages principaux versus le traitement héparinique auquel ils sont une alternative particulièrement  bienvenue pour des sujets jeunes, sans insuffisance rénale ni hépatique, en l’absence de comorbidités,  sont la possibilité d’un traitement oral et l’absence d’obligation de contrôles biologiques répétés. Dans l’indication de la prévention des accidents vasculaires cérébraux et des embolies systémiques chez les patients atteints de fibrillation atriale non valvulaire, il n’existe à l’heure actuelle aucun argument scientifique pour privilégier les nouveaux anticoagulants oraux par rapport aux AVK, à plus forte raison pour remplacer, chez un patient, un traitement AVK efficace et bien toléré par un anticoagulant oral direct, sans parler de la dangerosité inhérente au passage d’un AVK à un nouvel anticoagulant, quelles que soient les précautions prises. 

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  • Rapport

    La Prévention en santé chez les adolescents

    L’auteur déclare n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport.

    Près de 90% des adolescents de 12 à 18 ans s’estiment en bonne santé, mais on observe chez certains d’entre eux des comportements à risque pouvant entraîner des troubles irréversibles pour leur devenir.

    Il s’agit en particulier de l’usage des drogues légales et illégales, de troubles psycho comportementaux pouvant conduire au suicide, d’une sexualité naissante mal contrôlée, d’habitudes alimentaires défavorables associées à la sédentarisation, d’une consommation excessive et peu contrôlée des technologies d’information et de communication (TICS) par ailleurs indispensables aujourd’hui.

    Pour tenter d’informer objectivement les adolescents, les méthodes de communication ciblées sur les adultes sont impuissantes et il faut mettre en place  des actions spécifiques faisant appel, notamment, aux groupes de jeunes, les pairs, ayant suivis une formation adaptée pour éviter la stigmatisation des ados souvent victimes de groupes de pression ou du sectarisme de certains « éducateurs ».

    Le rôle de la famille, de l’école, de la médecine scolaire (à refondre) est capital surtout dans la préadolescence (6-12ans). L’accent est mis sur l’importance des activités physiques et sportives sur le plan de la santé mais aussi au niveau psycho-comportemental.

    Une attention particulière doit se porter sur les jeunes issus de milieux défavorisés qui, comme nous l’avons écrit dans le 1er rapport (La culture de prévention : des questions fondamentales adopté à l’unanimité par l’Académie de médecine le 15/10/2013), sont trop souvent oubliés.

    La prévention « humaniste » et le développement du lien social doivent constituer la base de nos actions.

    Aux 10 recommandations prioritaires concluant le premier rapport nous en avons ajouté 8 plus spécifiques aux adolescents.

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  • Communiqué

    Vieillissement et chutes

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  • Rapport

    Demande d’autorisation d’eau minérale naturelle en vue d’un usage thérapeutique en établissement thermal et d’agrément pour l’obtention de l’orientation thérapeutique « arthrose et genou » pour l’établissement thermal situé sur la commune de Nancy (Meurthe-et-Moselle)

    Les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêt avec l’objet de ce rapport.

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  • Rapport

    Les antidépresseurs

    The antidepressants

    Les membres du groupe de travail déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de ce rapport.

    Les médicaments antidépresseurs doivent être prescrits dans le respect des règles de bonne pratique : diagnostic d’épisode dépressif majeur ou de trouble relevant de ce type de traitement, posologie et durée de prescription adéquats.

    Les effets neurobiologiques de ces médicaments demeurent insuffisamment élucidés : l’impact monoaminergique n’est qu’un des aspects au côté des effets neurotrophiques ou épigénétiques. On connaît trop peu les effets de ces molécules sur le fœtus et l’enfant : ceci ne justifie pas de méconnaitre les états dépressifs de la femme durant ou après la grossesse ou de l’enfant et l’adolescent. Les antidépresseurs sont un moyen de réduire le risque suicidaire chez l’enfant ou l’adolescent, l’adulte jeune ou âgé.   

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  • Communiqué de presse

    Le 19 mai, communiqué de presse : « Journée mondiale sans tabac »

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  • Communiqué de presse

    Le 5 mai 2014, communiqué de presse : « Electrosensibilité »

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  • Rapport

    Importance du concept de FRAGILITÉ pour détecter et prévenir les dépendances «évitables» au cours du vieillissement

    Importance of the frailty concept to detect and prevent avoidable functional dependency during ageing

    L’actualité du thème de la fragilité s’explique par le vieillissement de la population française qui devrait compter en 2060, 73,6 millions d’habitants dont  32% de plus de 60 ans. Ce vieillissement de la population s’associe à une pandémie de maladies chroniques et d’incapacités fonctionnelles. Les coûts de la dépendance liée à l’âge sont déjà fort élevés et le seront encore davantage. Des mesures urgentes s’imposent pour réduire les dépendances « évitables » au cours du vieillissement.

    La fragilité est un processus évolutif, comportant 3 phases : fragilisation (phase préclinique), fragilité (phase d’état, marquée par le retentissement clinique de la sarcopénie) et ses conséquences (phase de complications, dont la dépendance fonctionnelle et la mort). Il a récemment été démontré que la sarcopénie et la fragilité sont potentiellement réversibles. Il est souhaitable d’établir un plan pour dépister les personnes vieillissantes en état de pré-fragilité ou fragiles pour éviter ou retarder leur entrée en dépendance.

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  • Communiqué de presse

    Le 5 mai 2014, communiqué de presse : « Dosage de vitamine D »

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  • Rapport

    Réponse à la saisine du Conseil d’Etat sur la conduite à tenir chez les personnes dans un état « pauci relationnel »

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  • Communiqué

    A propos de l’expansion de la consommation de cannabis

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  • Communiqué de presse

    Le 24 mars 2014, communiqué de presse : SCOLIOSE, c’est aux parents de savoir dépister au plus tôt

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  • Rapport

    Pour une information du public scientifiquement fondée, impartiale, facilement accessible et compréhensible dans le domaine du médicament

    L’auteur déclare un lien d’intérêt intellectuel : il a été membre du Collège de la Haute Autorité de santé (HAS) de 2004 à 2014 et a présidé la commission de la transparence de la HAS de 2003 à 2014.

    L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie  considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles. Préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées, elles émettent un certain nombre de recommandations destinées à permettre de faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté, dans ce contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible pour le public. Ces recommandations s’adressent aux émetteurs d’informations les plus qualifiés que sont d’abord les pouvoirs publics et les autorités et agences de santé dont les trop nombreux silences, mais aussi le manque de réactivité et la production de messages peu adaptés au grand public ne permettent pas une présence suffisamment forte et visible dans les débats et polémiques ; ensuite à l’Assurance maladie qui devrait davantage donner accès aux très nombreuses données dont elle dispose et davantage les exploiter ; aux sociétés savantes qui doivent se garder de cautionner et de promouvoir des informations prometteuses mais non encore confirmées ; aux professionnels de santé qui restent les sources principales d’information du public et les meilleurs relais des informations émanant des autorités et dont la crédibilité des messages repose non seulement sur l’actualisation de leurs connaissances mais aussi sur leur indépendance; enfin aux associations de patients et aux patients qui, dans leur quête d’informations, doivent prioritairement recourir à leurs médecins et à leurs pharmaciens, en particulier ne jamais interrompre brutalement un traitement en cours ou modifier sa posologie sans leur en avoir préalablement parlé et faire preuve de la plus grande prudence vis-à-vis de documents ou messages électroniques ou non dont l’origine et la qualité ne sont ni identifiées ni validées.

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  • Communiqué

    Technétium un risque de pénurie inquiétant pour la santé publique

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  • Communiqué

    Handicap & violence. Il faut briser la loi du silence

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  • Communiqué

    Exposition aux ondes électromagnétiques. La santé publique ne doit pas être un enjeu politique

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : À propos de l’actualité, l’Académie nationale de médecine réitère sa position sur la fin de vie

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : SATIVEX, un suivi rigoureux en matière de pharmacovigilance et d’addictovigilance s’impose

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  • Communiqué

    L’Académie nationale de médecine appelle au don post-mortem de cerveau

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : tabac et santé publique, des mesures incohérentes et dangereuses

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  • Rapport

    L’éducation thérapeutique du patient (ETP), une pièce maîtresse pour répondre aux nouveaux besoins de la médecine

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport

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  • Communiqué

    A propos d’éventuels effets indésirables graves de la vaccination anti-papillomavirus humains en France.

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  • Rapport

    Sur la demande d’autorisation d’exploiter les émergences Venturino et Caldane – Station thermale de Guagno-les-Bains en Corse du Sud

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse à propos de l’expérimentation des salles d’injection

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  • Communiqué

    Médecine tropicale française et coopération internationale. Enjeux et perspectives

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse, radiofréquence et santé

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  • Rapport

    La Culture de prévention en santé : des questions fondamentales

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  • Rapport

    Mort subite au cours des activités physiques et sportives. Recommandations pour des mesures préventives

    Death. Sudden prevention & control. Sport

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : la pénurie de Lévothyrox

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : une mise au point de l’Académie

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  • Rapport

    La prise en charge des soins ophtalmologiques en France

    Ophthalmological care in France

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  • Rapport

    Le parcours qualifiant des chirurgiens

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce rapport.

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  • Rapport

    Améliorer la pertinence des stratégies médicales

    Improving relevance of medical strategies

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  • Rapport

    Thérapies complémentaires – acupuncture, hypnose, ostéopathie, tai-chi – leur place parmi les ressources de soins

    Place of alternative therapies in medical practice (acupuncture, hypnosis, osteopathy, tai-chi, etc.)

    Les thérapies complémentaires ont-elles une place dans les hôpitaux publics ? Telle est la question que posent les auteurs après l’apparition de ces techniques dans la pratique de plusieurs établissements. Les revues et méta-analyses d’essais cliniques contrôlés montrent que l’acupuncture, la médecine manuelle-ostéopathie et l’hypnose (thérapies les plus pratiquées dans les hôpitaux de Paris) ne font preuve d’utilité que dans un nombre restreint de situations : lombalgies, cervicalgies, certaines céphalées (acupuncture et manipulations du rachis), nausées et vomissements de la chimiothérapie anticancéreuse (acupuncture et hypnose), prévention de la douleur liée aux soins chez l’enfant (hypnose). De même le tai-chi paraît efficace pour la prévention des chutes et l’amélioration de l’équilibre chez les personnes âgées. Toutefois l’avantage de ces méthodes par rapport aux soins de référence est peu ou non significatif, et quand une intervention placebo est réalisable (acupuncture, certaines manipulations) la thérapie authentique n’est pas supérieure à la thérapie simulée. L’effet placebo pourrait donc être le mécanisme commun d’action de ces thérapies. Malgré ces limites, les thérapies complémentaires sont très appréciées du public et la plupart des facultés de médecine françaises leur consacrent des enseignements optionnels de troisième cycle. Les hôpitaux publics, et notamment les CHU et les centres d’oncologie, ne peuvent donc être critiqués d’accorder à ces pratiques une place dans leur offre de soins. Les auteurs émettent cependant plusieurs recommandations afin que, en adoptant ces thérapies, l’hôpital soit perçu non comme garant de leur efficacité, mais comme lieu d’exemplarité de leur pratique et espace ouvert à la recherche et à l’évaluation objective et rigoureuse du bénéfice qu’elles apportent au patient. Ils rappellent à ce titre que ces thérapies ne sont que des méthodes adjuvantes, pouvant compléter les moyens de la médecine conventionnelle, mais ne pouvant s’y substituer.

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  • Communiqué de presse

    Communiqué de presse : Ne pas confondre « fin de vie » et « arrêt de vie »

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  • Rapport

    Contraception orale et risque vasculaire

    L’accès des femmes à la contraception a transformé leur vie, et leur a permis des progrès sociétaux considérables. Malgré ces progrès, le très grand nombre de grossesses non désirées, et d’interruptions volontaires de grossesse rend indispensable le renforcement de l’offre contraceptive. La contraception oestroprogestative est la méthode la plus utilisée en France chez les femmes jeunes du fait de son efficacité et de la simplicité de son usage. Le revers de la médaille, reconnu dès les années 60, est une augmentation du risque de thrombose, essentiellement veineuse (phlébite, éventuellement compliquée d’embolie pulmonaire) de 3 à 7 fois plus élevé que chez les non utilisatrices. Cet accident reste, cependant, rare, nettement inférieur au risque observé au cours de la grossesse, et du post partum. Le risque de thrombose veineuse est partagé par toutes les contraceptions hormonales contenant de l’éthinyloestradiol et un progestatif quel qu’il soit. Les pilules oestroprogestatives plus récentes, dites de 3e et 4e générations, augmentent encore le risque de thrombose veineuse par rapport aux pilules de deuxième génération, associant éthinyloestradiol et lévonorgestrel.
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  • Communiqué

    Risque cardiovasculaire, cholestérol et statines

    Cardiovascular risk, cholesterol and statins

    Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt en relation avec le contenu de ce communiqué.

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  • Communiqué

    TESTS DE DEPISTAGE GRATUITS ET ECOLES SEMI-PRIVEES D’AUDIOPROTHESE : la dérive marchande d’un secteur paramédical

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  • Rapport

    Apports et limites du Diplôme d’Etudes Spécialisées en Chirurgie Orale (DESCO) à l’amélioration de la prise en charge de la pathologie bucco-dentaire en France

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  • Communiqué

    Salles de consommation contrôlée de drogues (« salles d’injection ») L’Académie Nationale de Médecine réitère son opposition au projet d’expérimentation

    Controlled drug consumption rooms

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  • Rapport

    Rapport concernant la demande de la station thermale d’Aix-les-Bains aux fins d’obtenir l’orientation thérapeutique thermale « Phlébologie »

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  • Rapport

    Contribution à la « réflexion publique des citoyens, sur l’accompagnement des personnes en fin de vie » (Mission Sicard)

    Contribution to the « public reflexion of citizens on supporting end-of-life » (Mission Sicard)

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  • Communiqué

    Résistance aux antibiotiques : une impasse thérapeutique ? Implications nationales et internationales

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  • Rapport

    Pharmacovigilance : actualités et perspectives

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  • Rapport

    Évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique

    Assessment of psychiatric and criminal danger

    L’évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique est une des missions les plus
    délicates qui puisse être confiée à un expert judiciaire psychiatre en raison de leur faible nombre, de la qualité des outils d’évaluation disponibles et des potentielles conséquences individuelles et sociales de cette évaluation
    Après l’exposé des motifs de ce rapport et quelques remarques préliminaires, les chapitres
    analytiques successifs traitent de la saisie de la dangerosité psychiatrique et criminologique par le droit pénal, du dilemme permanent entre asile ou prison, des apports de la médecine pour comprendre et résoudre les problèmes liés à la dangerosité, du rôle de l’expertise médicale, des modalités de l’évaluation de la dangerosité mises à sa disposition et des mesures à prendre pour améliorer la qualité de ces expertises.
    Il s’en dégage des conclusions et recommandations pour une meilleure prise en charge de l’évaluation de la dangerosité psychiatrique et criminologique.
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