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Publié le 25 octobre 2018
Communiqué de presse
Le Prix Jean BERNARD de l’Académie nationale de médecine 2018 est décerné à Philippe LANÇON pour son roman « LE LAMBEAU » paru aux Editions GALLIMARD Lire la suite >Séance du 23 octobre 2018
Communiqué
Sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 Lire la suite >Séance du 9 octobre 2018
Rapport
Rapport 18-11. Les douleurs chroniques en France. Recommandations de l’Académie nationale de médecine pour une meilleure prise en charge des maladesChronic pain in France. Recommendations of the French Academy of Medicine for better pain management of the patients
Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts avec le sujet abordé.
Près de 20 millions de français (environ 30 % de la population adulte) souffrent de douleurs chroniques rebelles aux traitements antalgiques conventionnels.
La France a été l’un des premiers pays déterminés à lutter contre la douleur chronique, en mettant en place plusieurs plans gouvernementaux.
Toutefois, l’état actuel fait apparaitre de réelles menaces sur la prise en charge des malades douloureux chroniques, en raison :
-de départs prochains à la retraite de nombreux médecins spécialisés, qui avaient créé les “structures spécialisées douleur chronique” (SDC)
– et de grandes difficultés de recrutement de leurs successeurs.
L’Académie nationale de médecine émet les recommandations suivantes :
1 – Consolider l’existence des 273 SDC pour les années à venir.
2 – Désigner, au sein de chaque faculté de médecine, un « coordinateur universitaire douleur » rattaché à la sous-section « Thérapeutique-médecine de la douleur » du Conseil national des Universités ou à une des grandes disciplines universitaires concernant la douleur.
3 – Veiller au renouvellement des équipes des SDC par :
-des médecins ayant reçu une formation spécialisée transversale (FST) « Médecine de la douleur », en plus de leur Diplôme d’études spécialisées (DES) d’origine
-d’autres soignants (infirmières, psychologues, physiothérapeutes…) ayant bénéficié d’une formation « douleur ».
4- En plus de l’indispensable formation initiale de tous les médecins et soignants à la spécificité de la douleur chronique, faciliter l’accès à des formations complémentaires sur les nouvelles approches non médicamenteuses, technologiques et psycho-sociales.
5 – Développer la recherche clinique et fondamentale translationnelle par la mise en place de choix stratégiques, politiques et organisationnels.
Lire la suite >Séance du 2 octobre 2018
Rapport
Rapport 18-10. Arrêt cardiaque subit : pour une meilleure éducation du publicSudden Cardiac Arrest: For A Better Public Education
Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts avec le sujet abordé.
L’arrêt cardiaque extra-hospitalier représente un problème de santé publique majeur, avec plus de 40000 évènements chaque année en France. Moins de 10% des patients survivent. Les premières minutes de prise en charge sont cruciales, et une réanimation adaptée initiale plus systématique par le témoin, associant massage cardiaque externe et usage d’un défibrillateur, devrait permettre d’atteindre des taux de survie plus élevés. Un programme ambitieux et coordonné basé sur l’éducation de toute la population aux gestes qui sauvent, dès le jeune âge, est indispensable pour améliorer le pronostic. L’Académie Nationale de Médecine propose dans ce document une stratégie, identifiant quatre mesures essentielles pour une meilleure éducation de la population aux gestes qui sauvent.
Lire la suite >Séance du 25 septembre 2018
Communiqué
Maladies chroniques non transmissibles : prévention internationaleLes auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
Lire la suite >Publié le 19 septembre 2018
Communiqué de presse
Communiqué de presse : De la bientraitance en obstétrique ; la réalité du fonctionnement des maternités Lire la suite >Séance du 18 septembre 2018
Rapport
Rapport 18-09. De la bientraitance en obstétrique. La réalité du fonctionnement des maternités.Les auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
Au fil des années, les actions visant à améliorer la sécurité de la naissance ont porté leurs fruits ; les morbi-mortalités maternelle et périnatale ont diminué de façon spectaculaire.
Cependant, ces excellents résultats sont tempérés par de nombreuses critiques concernant l’hétérogénéité des pratiques et des carences manifestes dans l’accompagnement humain de la naissance.
Dans ce rapport, nous décrivons la réalité du fonctionnement des maternités tout en faisant état des motifs d’insatisfaction exprimés par les patientes.
Nous proposons des axes d’amélioration : meilleure formation des soignants, meilleure information des femmes et leur famille, harmonisation des pratiques, modification du fonctionnement des maternités, en insistant sur la nécessaire implication des usagers dans l’élaboration des projets de service.
Ces propositions pourront servir de support aux actions à entreprendre progressivement dans chaque maternité afin d’améliorer la qualité des soins.
Lire la suite >Publié le 7 septembre 2018
Communiqué de presse
Samedi 15 septembre : Journées Européennes du Patrimoine Lire la suite >Publié le 2 juillet 2018
Communiqué de presse
Communiqué de presse du 2 juillet 2018 : « Mise au point de la Haute Autorité de Santé (HAS) à propos de la maladie de Lyme : Réactions et déception de l’Académie nationale de médecine » Lire la suite >Publié le 29 juin 2018
Communiqué de presse
Communiqué de presse du 29 juin 2018 : Devoir d’alerte ! Lire la suite >Séance du 26 juin 2018
Rapport
Rapport 18-06. La demande d’une nouvelle orientation (rhumatologie) par l’établissement thermal de vals-les-bainsLes rapporteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de ce rapport.
Séance du 20 juin 2018
Rapport
Rapport 18-05. La biologie médicale face aux défis de l’évolution des besoins de santéMedical biology in the face of the evolution of health care needs
Les membres du groupe de travail appartiennent aux Académies nationales de Médecine et de Pharmacie et sont spécialisés en biologie médicale. Ils n’ont aucun intérêt personnel dans les propositions issues de ce rapport.
Depuis la publication de l’ordonnance du 13 janvier 2010 ratifiée par la Loi du 30 mai 2013, la biologie médicale en France a connu une restructuration massive avec apparition de regroupements pouvant atteindre plusieurs centaines de laboratoires. Cette évolution, qui aboutit à une réduction considérable du nombre de structures, pose un certain nombre de problèmes liés à l’industrialisation, à la financiarisation croissante, aux difficultés de l’accréditation et à la disparition du lien de proximité entre le biologiste et le prescripteur ou le patient. Elle entraîne également une très nette désaffection des étudiants, en particulier des étudiants en médecine, pour cette spécialité dont le caractère médical a pourtant été clairement affirmé par la Loi. Le présent rapport fait le point sur la situation actuelle de la biologie médicale et émet des recommandations pour renforcer le rôle du biologiste médical dans le système de santé et la prise en charge des patients.
Lire la suite >Séance du 19 juin 2018
Communiqué
À propos de la dépénalisation de la consommation de cannabisLes auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
Lire la suite >Séance du 12 juin 2018
Rapport
Rapport 18-04. La place de la France dans les essais cliniques à promotion industrielleL’auteur déclare ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
La place de la France dans la réalisation des essais cliniques à promotion industrielle recule depuis 10 ans. Les raisons en sont multiples : 1 /une diminution de l’offre thérapeutique française liée à un recul de l’industrie pharmaceutique française qui n’a pas pris à temps le virage des biotechnologies, à la difficulté des Biotechs à atteindre une taille critique et des Medtechs à créer des leaders de taille mondiale.2 / des lourdeurs administratives entrainant un retard des réponses de l’ANSM et des CPP aux procédures d’essais cliniques. 3/ une capacité d’inclusion insuffisante dans les délais impartis.4 /une démotivation des investigateurs. A l’issue de ses auditions, le groupe de travail de l’Académie Nationale de Médecine formule des pistes de réflexion et une série de propositions pour permettre à la France de retrouver son attractivité dans un domaine capital de l’innovation médicale pour le bien des patients.
Lire la suite >Séance du 22 mai 2018
Rapport
Rapport 18-03. Efficacité et effets indésirables des statines : évidences et polémiquesEfficacy and adverse effects of statins: controversies and evidences.
Monsieur Julien BEZIN déclare ne pas avoir de conflit d’intérêt seulement un financement public de recherches (Subvention de recherche par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM)
Professeur Régis BORDET déclare avoir participé à des symposia et des comités de consultance pour les laboratoires Lundbeck, Otsuka, BMS, Sanofi, Novartis mais sans rapport avec les statines. Il a été conseiller scientifique de la société Genfit, sous couvert de son université et de son CHU. Il est impliqué dans un projet du FUI avec la société Theranexus, ainsi qu’un projet de recherche clinique sur la prévention secondaire des AVC, soutenu par le PHRC et la société Bayer. Il a coordonné un projet européen IMI soutenu par l’UE et l’EFPIA sur le développement des médicaments dans la maladie d’Alzheimer. Il a présidé le Centre National de Gestion des Produits de Santé (GIP public/privé) et a été président du conseil scientifique du think tank ‘Ateliers de Giens’. Il est président du conseil scientifique de la Société Française de Pharmacologie et de Thérapeutique. Il est conventionné avec l’ANSM et la DGOS via le financement du CRPV et du CEIP de Lille qu’il coordonne. Il a mené plusieurs travaux de recherche précliniques et cliniques étudiant l’effet des statines, dans le cadre académique, et pour un projet en lien avec les sociétés Genfit et Pfizer.
Le Professeur Eric BRUCKERT déclare avoir mené des travaux de recherche ou participé à des activités de conseils avec les laboratoires MSD, Astra Zeneca, Amgen, Aegerion, Sanofi-Aventis-Regeneron, Danone, Unilever, Lilly, Genefit, Akcea, Chiesi-Unicure et Meda).
Le Professeur Isabelle DURAND ZALESKI déclare être consultante chez Sanofi.
Le Professeur Michel KOMAJDA (rapporteur) déclare avoir mené des travaux de recherche ou participé à des activités de conseils avec les laboratoires Servier, Novartis, MSD, BMS, Sanofi, Novo Nordisk.
Le Professeur Didier LEYS déclare pour les 5 dernières années être Président du Comité de validation des évènements critiques de l’étude TST (financée par le PHRC national, Principal investigateur Professeur Amarenco, Paris), et absence d'autre lien en rapport avec les statines. En dehors du domaine concerné par cet article, est intervenu comme investigateur dans des études ou pour une activité de conseil auprès des laboratoires Astra-Zeneca, Sanofi-Aventis, BMS, Boehringer-Ingelheim, Bayer et Pfizer. Les contrats financiers ont été passés soit avec Adrinord, soit avec la délégation à la recherche du CHU de Lille (pas d’honoraires).
Le Professeur Nicolas MOORE déclare, par la plateforme Bordeaux PharmacoEpi, qu’il dirige réaliser des études demandées par les autorités sanitaires, financées par les industriels du médicament, et à ce titre a pu travailler avec la plupart des laboratoires pharmaceutiques présents sur le marché Français. Aucune de ces études n’a concerné les statines, directement ou indirectement. A titre personnel, il lui arrive de donner des conseils de méthodes ou de stratégies d’évaluation post-AMM aux industriels, mais aucune n’a concerné les statines.
Le Professeur Pierre François PLOUIN déclare n'avoir aucun lien d'intérêt en relation avec le contenu de cet article.
Le Professeur Jocelyn RAUDE déclare avoir participé à des séminaires sur la crise de confiance dans les médicaments soutenus par une entreprise pharmaceutique (MSD)
L’introduction des statines comme traitement des dyslipidémies a révolutionné la prise en charge de cette pathologie et de multiples études randomisées et contrôlées ont confirmé que cette classe thérapeutique réduisait les évènements cardio-vasculaires majeurs en prévention secondaire et en prévention primaire. Cette classe de médicaments est actuellement recommandée par les recommandations internationales afin de réduire le risque cardio-vasculaire en diminuant le taux de LDL cholestérol circulant avec un niveau de preuve très élevé. Cependant une polémique récurrente a alimenté les interrogations de la population sur l’efficacité et l’innocuité des statines et conduit de nombreux patients à interrompre leur traitement. Ce rapport a pour but d’analyser de manière objective les preuves en faveur de l’efficacité, de l’efficience et des effets indésirables des traitements par statines, mais aussi d’étudier les raisons qui sous-tendent la polémique et les conséquences pour la population des arrêts intempestifs de traitement.
Lire la suite >Publié le 5 avril 2018
Communiqué de presse
Comment passer de la recherche fondamentale à la production à l’échelle industrielle de cellules souches humaines à usage thérapeutique Lire la suite >Séance du 27 mars 2018
Rapport
Rapport 18-02. Retour à la vie « normale » après traitement d’un cancerBack to « normal » life after cancer treatment
Les rapporteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de ce rapport.
L’incidence du cancer et le nombre de sujets en vie après un cancer augmentent. En 2008, en France, trois millions de personnes ayant eu un cancer sont en vie et 18 millions sont prévus en 2022. La réinsertion de ces patients dans la vie « normale » soulève des problèmes sociétaux, familiaux et professionnels. Ces trois sujets sont abordés dans ce rapport. A la fin des traitements quel que soit l’impact psychologique du cancer, le retour à la vie « normale » passe par l’acceptation d’être guéri de la peur de mourir. Cette acceptation est d’autant plus difficile qu’une surveillance est proposée et que la prise en charge du cancer en Affection de Longue Durée (ALD) se poursuit. Les patients doivent s’investir fortement avec si nécessaire un soutien psychologique et une aide de l’Association Française de Soins Oncologiques de Support (AFSOS), de la convention tripartite signée entre pouvoirs publics, professionnels de la banque et assureurs (AERAS) qui leur permettra de s’assurer et d’emprunter si besoin et enfin des actions en faveur du retour à l’emploi. Dans tous les cas un encouragement à l’activité physique et des conseils alimentaires identiques à ceux donnés en prévention primaire doivent être formulés. Le maintien d’une cohésion familiale est important et passe par le retour à une vie sexuelle normale et une proposition de préservation de la fertilité avec conservation des gamètes. Chez l’enfant, avant la puberté, une proposition de conservation de tissu germinal est possible mais sa réutilisation reste du domaine de la recherche. Ce rapport est un plaidoyer pour coordonner toutes les mesures existantes garantissant au maximum de patients un retour à la « vie normale ».
Lire la suite >Publié le 15 mars 2018
Communiqué de presse
Communiqué de presse : Mobilisation générale contre les Médicaments falsifiés ! Lire la suite >Publié le 8 mars 2018
Communiqué de presse
Décongestionnants de la sphère ORL Lire la suite >Séance du 6 mars 2018
Rapport
Rapport 18-01. Multimorbidité : Prise en charge par le médecin généralisteMultimorbidity : Clinical practice by the general practitioner
Les rapporteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de ce rapport.
La multimorbidité vise à décrire l’ensemble des maladies chroniques qui impacte la prise en charge d’un sujet. En France, l’enquête INSEE-Credes sur la santé et les soins médicaux a montré que la multimorbidité est la règle chez les personnes âgées et occupe une place importante dans les soins de premiers recours. La prise en charge de ces patients multi morbides est difficile, car la symptomatologie clinique appartient à plusieurs maladies chroniques sous-jacentes qui interagissent entre elles. La plupart des recommandations pour la pratique clinique sont construites selon une approche de «maladie unique». En présence d’un patient porteur d’une multimorbidité, les praticiens généralistes sont censés additionner toutes les recommandations préconisées pour chaque maladie considérée isolément, ce qui aboutit à des prises en charge médicamenteuses complexes, fort onéreuses et augmente le risque iatrogénique.
La réponse des médecins généralistes face à la multimorbidité ne doit pas être centrée uniquement sur les moyens pour ralentir la symptomatologie, mais doit intégrer d’autres paramètres comme : le maintien de la qualité de vie des patients, la réduction des déficits fonctionnels et des troubles sensoriels souvent méconnus ou délaissés, la prise en compte des aspects techniques, humains et financiers de la dépendance. Dans cet objectif il faut confier au médecin généraliste une responsabilité spécifique de coordination des soins et des prescriptions. Un dispositif de prise en charge à mettre en œuvre dans ces situations est proposé.
Lire la suite >Séance du 13 février 2018
Communiqué
Formation des futurs neurologues et des futurs psychiatresL’auteur déclare ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
Lire la suite >Publié le 12 février 2018
Communiqué de presse
Maladies de Charcot-Marie-Tooth: discussion des relations génotypes-lésions ultrastructurales du nerf périphérique Lire la suite >Séance du 6 février 2018
Communiqué
Pictogrammes « Grossesse » sur les conditionnements de médicaments : une intention louable, des conséquences incertainesLes auteurs déclarent ne pas avoir de lien d’intérêts avec le sujet abordé.
Lire la suite >Publié le 31 janvier 2018
Communiqué de presse
Les sciences de la vie et de la terre, des savoirs indispensables à acquérir durant les études secondaires Lire la suite >Publié le 31 janvier 2018
Communiqué de presse
Les sciences de la vie et de la terre, des savoirs indispensables à acquérir durant les études secondaires Lire la suite >Séance du 30 janvier 2018
Communiqué
Les Sciences de la vie et de la Terre, des savoirs indispensables à acquérir durant les études secondairesLes auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article
Lire la suite >Publié le 29 janvier 2018
Communiqué de presse
Les myopathies inflammatoires: d’importants progrès physiopathologiques porteurs d’espoirs diagnostique et thérapeutique Lire la suite >Publié le 18 janvier 2018
Communiqué de presse
A propos de la Médecine en milieu carcéral, enjeu majeur de santé publique Lire la suite >Publié le 11 janvier 2018
Communiqué de presse
Séance de rentrée à l’Académie de médecine Présidence : Bilan 2017 et Projets 2018 Lire la suite >Publié le 11 janvier 2018
Communiqué de presse
Le Professeur Eric Vivier, membre de l’Académie nationale de médecine est nommé directeur scientifique d’Innate Pharma Lire la suite >Publié le 9 janvier 2018
Communiqué de presse
Le Professeur Christian CHATELAIN prend ses fonctions de président de l’Académie nationale de médecine pour l’année 2018 Lire la suite >Publié le 4 janvier 2018
Communiqué de presse
Séance plénière de l’Académie nationale de médecine le mardi 9 janvier 2018 – 14 H 30 Lire la suite >Publié le 21 décembre 2017
Communiqué de presse
Les dangers de l’usage du cannabis : Mise en garde de l’Académie de Médecine Lire la suite >Publié le 20 décembre 2017
Communiqué de presse
Remise des prix de l’Académie nationale de médecine pour 2017 Lire la suite >Publié le 19 décembre 2017
Communiqué de presse
Le Professeur Emmanuel Alain CABANIS élu vice-président de l’Académie nationale de médecine Lire la suite >Publié le 12 décembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué commun des Académies de médecine et de pharmacie sur les propos de Luc Montagnier sur les vaccinations Lire la suite >Publié le 8 décembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse du 8 décembre 2017 : La médecine générale sera désormais représentée à l’Académie nationale de médecine Lire la suite >Séance du 7 décembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse : Propositions en vue d’encadrer la publication de l’avis inter-académique sur l’expérimentation animale sur le site de l’Académie Lire la suite >Publié le 5 décembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse du 5 décembre 2017 : Election du nouveau président du SAPEA Lire la suite >Publié le 5 décembre 2017
Communiqué de presse
Information presse : Partage des savoirs et perspectives de recherche dans le cadre de la 7ème rencontre nationale Recherche & Associations de malades Lire la suite >Séance du 5 décembre 2017
Rapport
Rapport 17-08. Améliorer le suivi des patients après chirurgie bariatriqueLes auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article
Le nombre de patients ayant bénéficié, en France, d’une intervention de chirurgie bariatrique a été multiplié par trois entre 2006 et 2014. Cet engouement ne doit pas faire oublier que plus de la moitié de ces patients sont perdus de vue, malgré le risque de graves complications post-opératoires et de séquelles souvent sous-estimées.
L’Académie nationale de médecine propose une démarche pragmatique et des pistes concrètes de solution. Le suivi de ces patients ne pourra être assuré sans augmenter le nombre de professionnels de santé impliqués dans leur parcours de soins. Les médecins généralistes, du fait de leur nombre, leur répartition sur le territoire, et leur proximité des patients, pourraient-ils participer à ce suivi ? Sous quelles conditions peut-on valider cette hypothèse ? Qu’en pensent les autres professionnels de santé, notamment les chirurgiens bariatriques, et les patients eux-mêmes ?
Pour répondre à ces questions, un sondage national a été effectué auprès d’un échantillon de chirurgiens, de patients déjà opérés et de médecins généralistes pour évaluer comment l’intégration de ces derniers dans le parcours de soins pourrait améliorer le suivi de ces patients. Au vu des résultats, il apparaît que le médecin généraliste est effectivement le mieux à même de pallier l’insuffisance de suivi de ces patients, à condition d’être formé et investi au sein d’un parcours de soins mieux coordonné sur la base de relations interprofessionnelles de qualité.
Les sociétés savantes, réunies sous l’égide de l’Académie, alertent sur l’absence de recul pour évaluer cette chirurgie. Elles s’engagent à mettre en œuvre une procédure collective pour mobiliser les médecins généralistes et lancer une expérimentation afin de valider les nouvelles recommandations qu’elles formulent à l’intention des autorités sanitaires.
Lire la suite >Séance du 5 décembre 2017
Rapport
Rapport 17-09. Le passage à l’échelle industrielle de la production de cellules souches à usage thérapeutiqueTransition to an industrial scale of human stem cell production for therapeutic use
L’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article.
La production de cellules souches pour le traitement des maladies humaines, initiée dans les laboratoires de recherche, est en voie d’être reprise par l’industrie pharmaceutique dont l’objectif est de développer des médicaments de thérapie innovante (MTI) dépourvus d’effets néfastes, homogènes, reproductibles, en quantité suffisante et de coût raisonnable. L’utilisation thérapeutique des cellules souches a débuté avec les cellules souches hématopoïétiques humaines (HSC), médullaires et du sang du cordon, dans le traitement des aplasies, des leucémies et des maladies génétiques hématologiques. Elle s’est développée avec les cellules souches mésenchymateuses (MSC) produites en faible quantité par la moelle, mais aussi d’autres tissus, utilisées après isolement et culture. Des succès thérapeutiques ont été obtenus dans diverses affections cardiaques et cutanées grâce à leurs propriétés sécrétoires paracrines de facteurs de croissance. Un grand pas a été effectué avec l’usage des cellules souches pluripotentes embryonnaires (ESC) ou induites (iPS).
Les premières du fait des limites apportées par les lois de bioéthique et des risques de cancérogenèse ont été utilisées uniquement de façon isolée après différenciation, soit dans un but thérapeutique, soit dans le criblage in vitro de médicaments. Les iPS sont produites à partir de cellules adultes après reprogrammation et différenciation, puis utilisées à titre autologue chez le donneur, lui-même, ou allogénique chez d’autres sujets, la 2ème condition permettant seule une production de masse. Le passage à la phase industrielle de la production nécessite d’utiliser un équipement adéquat (bioréacteurs) et de respecter les bonnes pratiques de fabrication lors des phases finales de préparation. Le marché mondial croît chaque année surtout pour le traitement des maladies chroniques répandues (dégénérescence maculaire, arthrose, nécrose cardiaque, ulcères diabétiques…). La France dispose d’une dizaine de sociétés impliquées dans la préparation de ces MTI, et quelques essais thérapeutiques encore limités aux phases I et I/II ont été réalisés. Pour faciliter le développement de start ups, quelques pays ont encouragé des approches partenariales entre les différents acteurs impliqués en montant des plateformes public-privé. La propriété intellectuelle des procédés est assurée par la prise de brevet qui reste impossible pour les cellules mêmes. Les résultats des essais thérapeutiques, même non concluants, devraient être accessibles sur un site ouvert à tous. Les contraintes règlementaires relatives aux MTI et aux MTI préparés ponctuellement relèvent de directives européennes après leur transcription dans la législation Française. La fabrication des MTI obéit aux bonnes pratiques définies par la règlementation. Leur évaluation avant leur mise sur le marché dépend de L’Agence Européenne des médicaments. Les deux Académies recommandent l’assouplissement de la réglementation et l’accélération des procédures afin de faciliter la production de MTI à base de cellules souches ainsi que diverses mesures destinées à aider à la création de start-ups spécialisées, en particulier la mise en place de centres de recherche collaborative pour les accompagner dans les domaines techniques et règlementaires.
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Publié le 15 novembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse : « Acquis récents et espoirs dans la prise en charge du diabète » Lire la suite >Publié le 14 novembre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie nationale de pharmacie Lire la suite >Publié le 26 octobre 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse du 26/10/2017 : L’Académie de médecine dénonce les tromperies à propos de la maladie de Lyme Lire la suite >Séance du 24 octobre 2017
Rapport
Rapport 17-08. La médecine scolaire en FranceSchool Medicine in France
L'auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article.
La médecine scolaire concerne plus de 12 millions d’élèves en France et elle est sous l’égide du Ministère de l’Education nationale(EN). Elle a été organisée en France en 1945, par la mise en place d’un service d’hygiène scolaire qui instaura un examen médical d’entrée à 6 ans et des examens de santé réguliers. En 1946 les postes de médecins et d’infirmières scolaires sont créés. Le service de promotion de la santé en faveur des élèves a été créé au sein du Ministère de l’EN en 1991. Les tâches des personnels de santé se sont étendues par la prise en charge des élèves ayant une maladie chronique (1993), l’aide aux élèves atteints de handicap (2005) ou celle des enfants ayant des difficultés d’apprentissage (2015). On déplore cependant le manque de pilotage, d’évaluation et de clarté pour la gouvernance, en particulier pour les missions des médecins et des infirmières. Les objectifs pour la santé des élèves se sont multipliés, mais le nombre de médecins scolaires est en diminution constante passant de 1400 Médecins de l’éducation nationale (MEN) en 2006 à 1000 en 2016. L’attractivité pour la médecine scolaire est médiocre en raison de sa faible reconnaissance professionnelle et des mauvaises conditions matérielles. La répartition des MEN en France est très hétérogène, allant de 2000 à 46000 élèves pour un seul MEN. Le taux des visites pour les élèves de 6 ans varie selon les régions de 0 à 90% : en moyenne 57% des enfants ont eu un examen de santé pratiqué par un médecin ou par une infirmière en 2015. La carence en MEN menace la qualité et l’égalité du dépistage précoce et de la prévention, en particulier pour les grands problèmes de l’adolescence: échec scolaire, addictions, obésité, troubles neuropsychiques.L’Académie de médecine recommande de remédier d’urgence à la pénurie des MEN, de recadrer leur activité dans un statut de médecins de la prévention, d’assurer l’examen de santé pour tous les enfants de 6 ans, de réviser la gouvernance par la création d’un comité exécutif entre les ministères de l’EN et de la Santé, d’instaurer un enseignement universitaire de la médecine scolaire sous la forme d’une formation spécialisée transversale, et de mettre en place un système de santé scolaire organisé basé sur les personnels de la santé scolaire et les enseignants formés à cet effet.
Lire la suite >Séance du 10 octobre 2017
Communiqué
Addictions en milieu professionnelL’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêt en relation avec le contenu de cet article
Les conduites addictives constituent un problème de santé publique préoccupant. Elles sont susceptibles d’avoir un impact sur la vie professionnelle et d’engager la responsabilité de l’entreprise en cas d’accident. Elles peuvent menacer la sécurité des usagers, notamment lorsque les agents occupent des postes de sûreté et de sécurité. Les prévalences d’usage des substances psychoactives en population générale sont rappelées. Selon l’enquête du « baromètre santé 2014 », les consommations des substances psychoactives chez les actifs occupés étaient plus faibles que celles des demandeurs d’emploi tant pour les drogues licites (alcool p<0,05 ; tabac, p<0,001), que pour les drogues illicites (cannabis par exemple, p<0,001). En ce qui concerne les médicaments psychotropes, le « baromètre santé 2010 », montrait une prévalence d’usage dans l’année de 16,7 %. En 2014, trois milieux professionnels étaient concernés par des niveaux élevés de consommations de substances psychoactives licites ou illicites : le bâtiment et les travaux publics, le secteur englobant les arts, les spectacles et les services récréatifs, ainsi que le secteur de l’hébergement et de la restauration. Quant aux médicaments psychotropes l’enquête 2014 indiquait une prévalence d’usage dans l’année beaucoup plus élevée chez les femmes (de 13,1% à 30,0%), que chez les hommes (de 2,8% à 14,5%). Les conséquences des consommations de substances psychoactives dans le milieu professionnel sont rappelées : pertes de production, absentéisme, perte d’image pour l’entreprise, accidents du travail. L’Académie nationale de médecine propose un certain nombre de recommandations en raison de la gravité des conséquences sanitaires liées aux conduites addictives en milieu professionnel.
Lire la suite >Séance du 26 septembre 2017
Communiqué
Tatouages, la diffusion de la pratique et la diversité des produits utilisés justifient de nouvelles précautionsLes auteurs déclarent n’avoir aucun conflit d’intérêt en rapport avec le contenu de ce rapport.
Lire la suite >Publié le 6 juillet 2017
Communiqué de presse
Communiqué de presse : Disparition de Simone Veil Lire la suite >Séance du 27 juin 2017
Communiqué
Accès aux fonctions d’interne (3e cycle des études médicales). Avant de classer, contrôler le niveau des connaissances Lire la suite >