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  • Résumés des présentations et enregistrement de la séance du 3 mai 2022

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  • Résumés des présentations de la séance du 15 février 2022

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  • Communiqué

    Fin de vie : l’importance de rédiger ses directives anticipées

    End of life: importance of writing advance directives

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  • Résumés des présentations de la séance du 23 novembre 2021

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  • Communication scientifique

    Y a-t-il encore une place pour les prothèses en chirurgie du prolapsus génital ou de l’incontinence de la femme ?

    Is there still a place for prostheses in urogynecological surgery?

    Les prothèses en uro-gynécologie regroupent tous les implants médicaux mis en place chez les femmes au cours de prise en charge de l’incontinence urinaire ou du prolapsus génital.

    Cela inclut donc les bandelettes sous-urétrales, mais aussi les prothèses posées au contact du vagin, utilisées quant à elles, pour le traitement des prolapsus génitaux (« descente d’organes »).

    Leur utilisation a été mise en cause lors du scandale des « implants files » et lors de procès aux états unis. Après plusieurs retraits de matériels d’industriels (ams, ethicon gynecare, boston scientific), l’HAS après réanalyse des dossiers des fabricants restants n’a pas autorisés l’utilisation des prothèses synthétiques présentées pour les cures de prolapsus génitaux par voie basse. Deux décrets récents sont venus préciser l’utilisation encore possible des bandelettes sous urétrales et plus récemment des prothèses utilisées dans les promontofixations.

    Parallèlement la Communauté Européenne a lancé une nouvelle réglementation beaucoup plus exigeante sur les données médicales et de suivi de marché pour les industriels pour l’obtention du marquage CE de ces dispositifs.

    Nous reviendrons brièvement sur la place respective des différents dispositifs médicaux en termes d’indication thérapeutique dans les cures d’incontinences urinaires de la femme et des prolapsus génitaux. Enfin nous préciserons les conditions d’utilisation règlementaire de ces dispositifs à la suite de l’évolution des textes législatifs.

    Ces scandales et évolutions réglementaires vont modifier durablement la pratique clinique par le retour à des techniques autologues plus anciennes et mal évaluées et obliger à une collaboration plus forte autour de réunions de discussion de dossiers pour des décisions multidisciplinaires pour la plupart des prises en charge.

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  • Résumés des présentations de la séance du 2 novembre 2021

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  • Communiqué

    La recherche en santé pour l’homme reste encore pour partie dépendante du recours aux animaux

    Human health research still partly depends on the use of animals

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  • Résumés des présentations de la séance du 29 juin 2021

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  • Résumés des présentations de la séance du 1er juin 2021

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  • Résumés des présentations de la séance du 30 mars 2021

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  • Communiqué

    Communiqué de l’Académie : Impact de la pandémie de Covid-19 sur les violences domestiques

    Impact of the Covid-19 pandemic on domestic violence

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  • Rapport

    Rapport 20-06 — Interfaces cerveau-machine : essais d’applications médicales, technologie et questions éthiques

    Brain-machine interface: Testing of medical applications, technology and ethical issues

    L’interface cerveau-machine (ICM) est une technique permettant de recueillir l’activité du cortex et de la transformer, grâce à un logiciel, en commande d’activités motrices ou sensorielles définies respectivement comme asynchrone et synchrone parce que dans ce dernier cas le cortex est stimulé par un événement extérieur alors que dans le premier il enclenche par la pensée un ordre moteur indépendant des nerfs et des muscles. Le recueil de l’activité corticale est soit extracrânien, et utilise l’électroencéphalographie, soit intracrânien avec implantation d’électrodes dans le cortex recueillant les potentiels émis. Les applications médicales de l’ICM visent à restaurer la mobilité d’un ou plusieurs membres suite à un accident ou une maladie. L.A. Benabid a mis au point une technique de commande corticale d’un exosquelette pour traiter des patients paraplégiques. G. Courtine et J. Bloch proposent de réactiver des circuits moteurs lombaires épargnés lors de l’accident. N. Jarasse et G. Morel font appel à des patrons supports constitués à partir des mouvements du tronc et de l’épaule accompagnant le mouvement voulu de la prothèse du bras amputé. A. Lecuyer a développé un logiciel « OpenViBE » appliqué au « neurofeedback » qui permet au patient visualisant les ondes de son cerveau de les ramener par entraînement à une norme afin d’améliorer déficits moteurs et troubles mentaux. Pour restaurer la vision en cas de perte des photorécepteurs, S. Picaud applique une stratégie consistant à réintroduire des informations visuelles dans le circuit neuronal en utilisant une puce électronique implantée en épi- ou sous-rétinien afin de stimuler les cellules ganglionnaires et atteindre in fine le cortex visuel. Toutes ces recherches concernent un nombre isolé de malades rarement étudiés dans des conditions de vie normale. Pour passer à l’étape industrielle, plusieurs défis doivent être affrontés : mieux connaître les réseaux neuronaux impliqués, développer la détection des signaux neuronaux avec des électrodes plus fines, plus résistantes et assemblées dans des matrices en en positionnant un très grand nombre à la surface du cortex, progresser dans le domaine de l’informatique et de l’analyse des données. Toutes ces techniques soulèvent des problèmes éthiques dont les 3 principaux sont : de préserver le caractère personnel de l’activité neuronale, de refuser toute coercition vis-à-vis du patient, et d’optimiser des dispositifs sauvegardant son pouvoir de décider. Ce rapport recommande un soutien public en faveur de la recherche académique et des start-ups, la création d’une structure de mise en réseau des unités de recherche travaillant dans le domaine, le refus d’une autocratie permise par le développement du numérique.

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  • Rencontres transdisciplinaires technologies et santé : 26 octobre et 2 novembre 2020

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  • Communiqué

    Communiqué de l’Académie : Suivi des soignants impliqués dans la prise en charge de la Covid-19

    Follow-up of caregivers involved in the management of Covid-19

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  • Communiqué

    Communiqué de l’Académie : « Hospitaliser les patients âgés en chambre individuelle : un rempart contre la Covid-19 et les infections nosocomiales »

    Hospitalizing elderly patients in a single room: a bulwark against Covid-19 and hospital-acquired infections

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