286 résultats
Résultats de la recherche
ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 5 octobre 2010
Éloge
Éloge de Maurice-Alexandre Guéniot (1918-2008) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 18 octobre 2011
Éloge
Éloge de Maurice Cara (1917-2009) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 17 novembre 2009
Éloge
Éloge de Maurice Goulon (1919-2008) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 21 juin 2011
Éloge
Éloge de Maurice Fontaine (1904-2009) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 21 février 2006
Information
Le virus Chikungunya : son extension récente dans le sud de l’Océan Indien et à l’Ile de la Réunion (2005-2006)Chikungunya virus : its recent spread to the Southern Indian Ocean and the Reunion Islands (2005-2006).
Le virus Chikungunya (alphavirus, Togaviridae) est transmis par des moustiques du genre Aedes et responsable d’une infection aiguë ressemblant à la dengue, avec toutefois une majoration des atteintes articulaires qui peuvent persister plusieurs mois voire des années. Sa répartition géographique est très vaste intéressant l’Afrique intertropicale de l’ouest, du centre, de l’est et du sud, ainsi que de l’Inde et tout le Sud-est asiatique. Depuis février 2005, il a progressivement envahi des Îles du sud de l’Océan Indien : l’Archipel des Comores, l’Île Maurice, les Seychelles et surtout celle de la Réunion. Dans ce département français, on estime qu’il a pu provoquer entre 110 000 et 200 000 infections, des atteintes neurologiques, de nombreux décès et des infections congénitales, manifestant une virulence qui n’avait pas été observée au cours d’épidémies précédentes.
Lire la suite >
ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 12 décembre 2017
Communication scientifique
Une maladie singulière : la maladie de Maurice RavelIl y a quatre-vingt ans mourait Maurice Ravel, au terme d’une maladie cérébrale dégénérative longtemps considérée comme inclassable. L’observation du musicien par les Professeurs Théophile Alajouanine et Henri Baruk en 1936 publiée en 1948 demeure le document de base de cette affection qui se manifesta dès l’âge de 45 ans par des troubles de l’ écriture devenant une agraphie totale avec alexie, des difficultés gestuelles ou apraxie et une discrète aphasie sans démence ni véritable atteinte des fonctions musicales ou amusie. Étiquetée proche d’une maladie de Pick sans en être véritablement une, par le professeur Alajouanine, cette maladie peut être considérée aujourd’hui comme une atrophie cérébrale circonscrite
Lire la suite >
dont les caractéristiques sont rappelées.ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 5 novembre 2002
Éloge
Éloge de Monsieur Jacques Salat-Baroux (1931-2001) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 17 février 2015
Éloge
Éloge de Maurice Antoine BRUHAT (1934-2014) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 2 décembre 2014
Communication scientifique
Séance spéciale commune de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie des sciences du mardi 2 décembre 2014 : « Hommage à Maurice TUBIANA » Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 12 décembre 2017
Communication scientifique
De l’art de la neurologie à la neurologie des arts : Alajouanine, Maurice Ravel, Jean-Louis Signoret et les autres Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 12 décembre 2017
Communication scientifique
Présentation de la séance dédiée : « De la maladie de Maurice Ravel à Théophile Alajouanine en passant par Jean-Louis Signoret » Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 30 octobre 2012
Communication scientifique
Mortalité coronarienne élevée à l’Île Maurice. Étude des facteurs de risque et analyses génomiquesElevated coronary mortality in Mauritius: risk factors and genetic analyses
La mortalité coronarienne à l’Île Maurice fut observée, dès 1986, comme étant beaucoup plus élevée qu’aux États-Unis chez les jeunes adultes, malgré une approche thérapeutique similaire. Cette différence a persisté en 1998 et 2007 malgré une baisse constatée dans les deux pays liée aux progrès thérapeutiques. Une étude épidémiologique comparant soixante cas d’infarctus précoces (<45 ans) à une communauté extrahospitalière sans atteinte coronarienne montra l’importance de l’obésité abdominale, de l’hypertension artérielle, du diabète, des anomalies de l’hyperglycémie provoquée, du cholestérol HDL, LDl et des triglycérides comme facteurs de risque. Le tabagisme est aussi un facteur contributif, 37 % des patients atteints avant quarante-cinq ans d’un infarctus fumaient plus de vingt cigarettes par jour comparé à 7 % des témoins (p<0,001) et que 75 % des patients atteints d’IDM avaient fumé, comparé à 59 % (p<0,001) des témoins. L’importance du risque héréditaire est statistiquement confirmée par la prévalence plus élevée d’événements coronariens dans les familles des patients atteints d’un infarctus précoce par rapport aux familles des témoins.Le syndrome métabolique et ses composants sont fortement liés au risque coronarien. Une étude du génome effectuée à Lille (Francke et al.) chez des patients mauriciens de l’ethnie indo-mauricienne atteints d’une maladie coronarienne a montré une relation de la maladiecoronarienne avec le chromosome 16p13 (LOD 3,06), le chromosome 10q23 (LOD 2,03) qui a aussi une relation avec le HDL cholestérol, le rapport LDL/HDL, et le chromosome 3q27 (LOD 2,37). Ces résultats diffèrent des données de la littérature relatives à une population européenne. Cette étude montre l’importance du syndrome métabolique dans la survenue de l’infarctus du myocarde au sein de la population indo-mauricienne à l’île Maurice et le caractère polygénique de la maladie.Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 25 novembre 2003
Communication scientifique
Vaccination de l’adulte en FranceAdult immunization
Les adultes sont soumis à différentes vaccinations dans le cadre de leurs activités professionnelles ou à l’occasion de voyages, de maladies qui les exposent à des infections. Les personnes âgées de plus de 65 ans reçoivent tous les ans le vaccin grippal. L’entretien de l’immunité anti-tétanique et anti-poliomyélitique par un rappel décennal est inscrit dans le calendrier vaccinal des adultes, mais n’est pratiqué que de manière irrégulière ; on peut lui adjoindre la valence anti-diphtérique, tel que le permet un vaccin combiné récent destiné à la revaccination .Il faut également se poser la question de l’entretien de l’immunité contre les maladies « de l’enfance » que les succès du programme vaccinal des plus jeunes repoussent à l’âge adulte : la rougeole, la rubéole, la coqueluche comportent un risque accru de complications. Les adultes victimes de ces infections deviennent même la source de la contamination des plus jeunes : ainsi, les coqueluches des nourrissons leur ont souvent été transmises par leurs propres parents. Ces vaccinations de l’enfance pourraient être poursuivies chez l’adulte. Avec la mise à disposition de nouveaux vaccins plus performants, on peut également envisager d’immuniser des sujets contre certaines souches de pneumocoques, de méningocoques ou contre la varicelle. La politique vaccinale des adultes doit être repensée pour être placée dans la continuité de la politique vaccinale des enfants ; certaines infections qui touchent avec prédilection la population adulte, tel le tétanos ou la rubéole, pourraient en effet être évitées par une amélioration de l’application des vaccinations. Un véritable calendrier de l’adulte et des recommandations précises pour des populations définies sont à mettre en place et à faire appliquer.
Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 18 mai 2004
Éloge
Éloge de Jean Cottet (1905-2003) Lire la suite >ARTICLES DU BULLETIN
Séance du 8 avril 2008
Éloge
Éloge de d’André Cornet (1911-2007) Lire la suite >